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Dans la guerre d’information qui accompagne le conflit entre Israël et le Hamas, le journalisme semble avoir déserté la bande de Gaza. Tandis que les reporters étrangers ont disparu du terrain, les récits dominants proviennent d’acteurs sous l’influence directe du Hamas ou de la chaîne Al-Jazeera.

Le Premier ministre israélien s’est exprimé ce dimanche devant la presse internationale, après l’annonce d’un nouveau plan militaire prévoyant la prise de Gaza.

Le Premier ministre israélien a confié, dans une interview à Fox News ce jeudi, que la future prise de contrôle de la bande de Gaza vise à « supprimer le Hamas » et permettre une « gouvernance civile ».

Israël a affirmé avoir visé des sites militaires en Iran et tué un haut gradé proche d'Ali Khamenei lors de nouvelles frappes aériennes.

L’armée israélienne a reconnu avoir eu recours à des tirs de sommation après que des diplomates ont « dévié de l’itinéraire approuvé » pour une visite organisée par l’Autorité palestinienne à Jénine, en Cisjordanie occupée.

L’armée israélienne développe une intelligence artificielle capable de « prédire » les actions du mouvement terroriste.

L'accord de cessez-le-feu prévoit le retrait dans un délai de 60 jours de l'armée israélienne du Liban et stipule que seuls l'armée libanaise et les Casques bleus doivent être déployés dans le sud du pays, frontalier du nord d'Israël.

Un réseau de tunnels et de caches d’armes a été patiemment construit par la milice chiite. À quelques pas de la frontière, il permettait de harceler les villages israéliens. D’après Tsahal, il était aussi destiné à lancer une attaque terrestre de grande envergure.

L’armée israélienne a blessé cinq Casques bleus de la Finul. Tsahal avait réclamé le départ des soldats onusiens de la zone concernée.

Alors qu’Israël mène à nouveau une campagne de frappe jusqu’au nord de Beyrouth et dans la plaine de la Bekaa après le tir d’un missile balistique du Hezbollah jusqu’à Tel-Aviv, le porte-parole de l’armée israélienne Olivier Rafowicz a expliqué sur Franceinfo que tout était encore «envisageable» pour Israël.

Alors qu’Israël ne cessait de perdre en influence et d'accumuler les ennemis dans le reste du monde, l’Etat hébreu tire-t-il son épingle du jeu militairement face à ses principaux rivaux dans la région ?

Depuis plus d'un an, des manifestations de grande ampleur sont organisées en Israël contre le gouvernement de Benjamin Netanyahou.

Selon l’armée israélienne, les corps sont ceux d’une habitante d’un kibboutz et de quatre militaires tués lors de l’attaque du 7 octobre.

Le directeur de l'hôpital al-Shifa, Mohammed Abou Salmiya, a affirmé avoir été soumis « à de sévères tortures » lors de sa détention en Israël et avoir subi une fracture au pouce.

Dans la nuit de dimanche à lundi, des frappes de l’armée israélienne sur un camp de réfugiés à Rafah ont fait au moins 45 morts et 249 blessés.

Le bilan est d’au moins 40 morts et 65 blessés après une frappe israélienne dans le centre de Barkasat, selon un responsable de la Défense civile dans la bande de Gaza. De son côté, Israël affirme avoir frappé "d'importants terroristes".

L'armée israélienne a annoncé avoir récupéré les corps de trois otages, dont le franco-mexicain Orión Hernández-Radoux, après une « opération conjointe » menée avec les services de renseignements.

Les tensions actuelles au Moyen-Orient entre l'Iran et Israël interrogent sur les potentielles conséquences sur le plan militaire.

Le général Ahmad Haghtalab a menacé Israël de lancer de "puissants missiles" sur leurs installations nucléaires. Téhéran sera en possession "d'informations nécessaires sur toutes les cibles".

Les chasseurs israéliens "ont frappé et éliminé Ali Ahmad Hussein, le commandant des forces al-Radwan de l'organisation terroriste du Hezbollah dans la région d'al-Houjair", précisent les forces israéliennes lundi.